Citation de Baltasar Gracián

Les vérités qui nous importent le plus ne sont jamais dites qu'à moitié.

Le soleil change souvent d'horizon et de théâtre, afin que la privation le fasse désirer quand il se couche, et que la nouveauté le fasse admirer quand il se lève.

La reflexion personnelle est l'école de la sagesse.

Le soleil change souvent d'horizon et de théâtre, afin que la privation le fasse désirer quand il se couche, et que la nouveauté le fasse admirer quand il se lève.

Aie la connaissance ou écoute ceux qui l'ont.

Le premier signe de l'ignorance, c'est de présumer que l'on sait.

La reflexion personnelle est l'école de la sagesse.

Quand la tristesse est au logis, il n'y a rien à faire.

Ne combat jamais un homme qui n'a rien à perdre.

La présence diminue la réputation, l'absence l'augmente.

La coutume diminue l'admiration.

Il n'y a point de plus haute vengeance que l'oubli.

Le mépris est la forme la plus subtile de la vengeance.

Pour un seul mensonge on perd tout ce qu'on a de bon renom.

L'amitié multiplie les biens et partage les maux.

La possession augmente le chagrin, soit à prêter, soit à ne pas prêter.

Il faut toujours qu’il y ait une certaine nouveauté. La personne qui montre un peu plus de ses talents chaque jour répond à ce besoin, et personne ne découvre jamais les limites de son talent.

L’opinion est libre, elle ne peut ni ne doit être violentée.

La plus grande prévoyance est d’avoir des heures destinées à prévoir les choses.

Pour vivre, laissez vivre.

D’être mécontent de soi-même, c’est faiblesse ; d’être content, c’est folie.

Partage la charge de ton chagrin, car il est insupportable d’être tout seul à souffrir.

Il faut vouloir quand on le peut ; car ni la saison ni le temps n’attendent personne.

Le sage tire plus de profit de ses ennemis que le fou n’en tire de ses amis.