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Citation de Bernard Pivot

Frases de Bernard Pivot

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  • Il y a l'argot des pauvres : fifrelin, kopeck, thune, radis, broque, flouss, etc., et il y a l'argot des riches : pognon, oseille, patates, fric, grisbi, etc.


  • Dans la politique, la vérité d'un jour n'était pas celle de la veille et ne sera pas celle du lendemain. De même dans les sciences et dans l'amour.


  • L'ennui avec la vérité, c'est qu'il faut chaque fois préciser si elle est vraie ou fausse.


  • Une bibliothèque est fondée sur le double-registre : "j'ai lu et aimé - je relirai", "j'ai appris - j'aurai besoin", "j'ai annoté et souligné - je profiterai du travail déjà fait".


  • Tout travail de longue haleine, répétitif, suppose l'ambition d'être toujours meilleur.


  • Tout Français appartient, officiellement ou de coeur et d'esprit, à une minorité qui se désole de ne pas avoir accès au petit écran.


  • Comment croire à une déclaration d'amour dans un mail si le o et le e de coeur ne sont pas entrelacés ?


  • Snober ou moquer un média aussi puissant que la télévision, aussi présent et aussi répandu relève d'un caprice de l'esprit ou de sa démission.


  • Quand c'est un métier, lire exige des yeux et de l'esprit une grande disponibilité.


  • A la liberté de provocation, répond la liberté d'objection.


  • Refuser la liberté d'objection, au nom de la liberté est une pitrerie ou un sophisme ridicule.


  • Un critique littéraire, c'est une mémoire livresque considérable, plus une culture tous azimuts, plus l'esprit de découverte, plus un fort pouvoir d'analyse, plus un vrai talent d'écrivain.


  • Dire à un écrivain que son dernier livre est décevant n'est attentatoire ni à la politesse, ni au plaisir de lire. Cela apporte au contraire, du crédit aux éloges.


  • Vieux rêve de l'homme, la conquête de l'ubiquité repose dans un petit boîtier à portée de la main : la télécommande.


  • On accorde à l'écrivain, un crédit d'intelligence et de sagesse dont seul le grand médecin peut se prévaloir.


  • Qui n'a pas connu la passion ne sait pas faire la différence entre la fièvre, le vertige, l'ivresse et l'embrasement.


  • Quand c'est un métier, lire exige des yeux et de l'esprit une grande disponibilité.


  • Aujourd'hui encore, le destin de la femme, dans la plupart des familles, c'est de ne pas bouger.


  • Malheureusement, à vouloir être partout, le zappeur n'est plus nulle part. Il sonde, saute, A la durée, il préfère le va-et-vient ; à la fidélité, le vagabondage ; à la connaissance, les flashes.


  • Qui n'a pas connu la passion ne sait pas faire la différence entre la fièvre, le vertige, l'ivresse et l'embrasement.


  • Le culte de la beauté et de la performance, développé, sublimé notamment dans la publicité, réunit dans les pays occidentaux plus de fidèles que toutes les religions.


  • Le e de femmes se prononçant a, il comprit, dès l'école, qu'avec les femmes ce serait compliqué.


  • Le e de femmes se prononçant a, il comprit, dès l'école, qu'avec les femmes ce serait compliqué.


  • Avec une télécommande et une chasse d'eau, l'homme est un animal sédentaire qui vit heureux.


  • Tout travail de longue haleine, répétitif, suppose l'ambition d'être toujours meilleur.


  • Le public qui aime les livres est restreint, mais ferme dans ses choix, et courageux dans ses curiosités.


  • Une ou deux phrases, quelques adjectifs, un compliment spontané, c'est de la critique ou du bouche à oreille ?


  • Si un écrivain est couronné, encensé, il considère que c'est la juste contrepartie de son talent, s'il est ignoré de la critique, dédaigné par le public, il en tient l'attachée de presse pour principale responsable.


  • Groupés, serrés les uns contre les autres, les livres ont la stabilité et la persévérance des menhirs.


  • Au festin de la lecture, on ne mange pas tous les livres avec le même appétit, au même rythme : avec celui-ci on pignoche et celui-là on l'engloutit.


  • Il n'est pas impossible que la prolifération des automobiles entraîne un accroissement de la lecture.


  • Le chic, la classe, l'élégance, le chien et même le peps, on ne les a pas par comparaison, on les a ou on ne les a pas, ou plutôt, on ne vous les reconnaît pas.


  • N'est-il pas dans la nature de la poésie d'être et de rester souterraine ?


  • On ne peut pas "poser" une question car il est dans la nature de celle-ci d'être volatile et volubile et dans son rôle de frapper et de rebondir.


  • Depuis toujours, surtout en France où l'on a couronné Voltaire, enterré Hugo comme un roi, canonisé Proust et enrôlé Gide, Camus, Malraux, Sartre et Mauriac comme directeurs de conscience, le respect admiratif pour l'écrivain est resté vivace.


  • Il y a antinomie entre les lignes hertziennes et les lignes du poète : comment la télévision, qui est lumière, éclat, mise en scène, évidence, peut-elle faire exprimer le secret d'une parole, l'écart d'une sensibilité, le risque du cri ou du chuchotement


  • Le journalisme, tel que je le conçois, ne passe pas par le beau, le profond, le durable.


  • L'idée vous vient-elle de vous séparer d'un livre, qu'il vous fiche mauvaise conscience !


  • La générosité, la bonté, la compassion paraissent être des signes de faiblesse ou de mollesse du caractère. Il faut avoir la force d'âme de les assumer.


  • De toutes nos mélancolies celle de la fin des vacances est la plus tendre, la plus précieuse, parce que ce fut la première, ayant débuté dans notre enfance, à l'approche du retour à l'école.