Citation de Jean Guéhenno

Chacun de nous se promène avec bienveillance dans cette galerie de portraits de lui-même qu'est sa mémoire.

On ne pourrait pas vivre si on avait tout le coeur qu'il faut. On ne vit que parce qu'on est dur.

Je connais maintenant la définition de la guerre : la guerre, c'est la mort des autres. On ne la laisse durer que parce que ce sont les autres qui la font et qui en meurent.

Un livre est un outil de liberté.

La plus grande et la plus émouvante histoire serait l'histoire des hommes sans histoire, des hommes sans papiers, mais elle est impossible à écrire.

Chacun de nous se promène avec bienveillance dans cette galerie de portraits de lui-même qu'est sa mémoire.

Il faut mener un homme, tout homme, jusqu'à lui-même et lui apprendre à se construire.

L'orgueil et la violence des forts ne cessent de recréer l'injustice.

L'orgueil et la violence des forts ne cessent de recréer l'injustice.

Aucune violence n'a jamais ajouté à la grandeur des hommes.

La fraternité est ce qui distingue les humains. Les animaux ne connaissent que l'amour.

La vraie lecture commence quand on ne lit plus seulement pour se distraire et se fuir, mais pour se trouver.

On défend bien plus férocement sa chance que son droit.

Chacun de nous se promène avec bienveillance dans cette galerie de portraits de lui-même qu'est sa mémoire.

Le souvenir de l’effort est toujours un souvenir heureux et l’on sourit aux anciennes misères vaincues.

On n'a pas d'autre maître que soi-même; il faut que ce maître soit dur.