Citation de Victor Hugo

La musique est dans tout. Un hymne sort du monde.

La musique, c'est du bruit qui pense.

C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

La vérité légendaire est d'une autre nature que la vérité historique. La vérité légendaire, c'est l'invention ayant pour résultat la réalité.

C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ! Nature au front serein, comme vous oubliez !

Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité.

C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas.

L'enfer, c'est l'absence éternelle.

L'admiration des médiocres caractérise les envieux.

La Démocratie, c'est la grande Patrie.

De telles innocences dans de telles ténèbres, une telle pureté dans un tel embrassement, ces anticipations sur le ciel ne sont possibles qu'à l'enfance, et aucune immensité n'approche de cette grandeur des petits.

Le bonheur veut tout le monde heureux.

Croyez pour être forts. Aimez pour être heureux.

L'homme manque à sa tâche divine : Je cherche un édifice et trouve une ruine.

Si vous ne sentez pas que la chose donnée par vous vous manque, vous n'avez rien donné. On ne donne que ce dont on se prive.

Les vieilles gens sont volontiers avares. Ils appellent cela prudence. Ils craignent que la terre leur manque. Et pourtant c'est la seule chose qui ne leur manquera pas.

II y a un abîme entre tout homme et son semblable qui ne se comble point avant que leurs regards ne se soient rencontrés dans le sein de Dieu. Alors l'abîme disparaît et l'amour des créatures, impuissant tant que rien ne les unissait, croît, grandit et prospère sous le souffle de l'amour divin.

L'ambition qui ne se soutient que par la fourberie, se précipite dans l'abîme des disgrâces.

L'absence, il faut me croire, est le pire des maux !

Il existe une connivence tacite, non voulue, mais réelle, entre ceux qui font peur et ceux qui ont peur.

La curiosité d'avoir peur existe.

Dans ce moment de panique, je n'ai peur que de ceux qui ont peur.

Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l'âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps.

Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens, Mais, dans l'oeil du vieillard, on voit de la lumière.

Aucune société n'est irrémédiable, aucun moyen âge n'est définitif. Si épaisse que soit la nuit, on aperçoit toujours une lumière.

La lumière est dans le livre. Ouvrez le livre tout grand. Laissez-le rayonner, laissez-le faire.

Aujourd'hui, je refais ainsi la définition de la Révolution : Une grande lumière mise au service d'une grande justice.

Dans les temps anciens, il y avait des ânes que la rencontre d'un ange faisait parler.

Il y a des instincts pour toutes les rencontres de la vie.

Qu'est-ce qu'un fleuve sans sa source ? Qu'est-ce qu'un peuple sans son passé ?

Il est plus facile de renoncer à l'avenir qu'au passé. De là, la puissance indomptable du moi.

Une insurrection qui éclate, c'est une idée qui passe son examen devant le peuple.

Autour de cette ville, la monarchie a passé son temps à construire des enceintes, et la philosophie à les détruire. Comment ? Par la simple irradiation de la pensée. Pas de plus irrésistible puissance. Un rayonnement est plus fort qu'une muraille.

Le premier des bons ménages est celui qu'on fait avec sa conscience.