Citation de George Bernard Shaw

A quoi servent les cartouches dans une bataille ? Moi, à la place, j'emporte toujours du chocolat.

Si les Anglais peuvent survivre à leur cuisine, ils peuvent survivre à tout.

Le châtiment d'un menteur n'est pas qu'on ne le croit pas, c'est qu'il ne peut croire personne.

La lecture est un stratagème qui dispense de réfléchir.

Le drame est né de l'union de deux vieux désirs : le désir de danser, et celui d'entendre une histoire. La danse est devenue déclamation, et l'histoire, situation.

Le drame est né de l'union de deux vieux désirs : le désir de danser, et celui d'entendre une histoire. La danse est devenue déclamation, et l'histoire, situation.

La solitude de Dieu est Sa force.

Faites en sorte d'obtenir ce que vous aimez, sinon vous serez forcé d'aimer ce que vous obtenez.

La démocratie est une technique qui nous garantit de ne pas être mieux gouvernés que nous le méritons.

A la nomination d'une petite minorité corrompue, la démocratie substitue l'élection par une masse incompétente.

N'essaie pas d'être immortel, tu serais voué à l'échec.

Un lion ne saurait être bien redoutable. Il n'a pas d'idéal, pas de religion, pas d'opinion politique, pas de courtoisie, pas d'éducation.

Quand un homme, enseignant ce qu'il ne sait pas à quelqu'un qui n'a aucune aptitude pour l'apprendre, lui donne un diplôme, ce dernier a complété son éducation d'homme comme il faut.

Quand un homme, enseignant ce qu'il ne sait pas à quelqu'un qui n'a aucune aptitude pour l'apprendre, lui donne un diplôme, ce dernier a complété son éducation d'homme comme il faut.

La peur pousse les hommes à n'importe quelle décision extrême.

J'ai peur que nous ne devions rendre le monde honnête avant de pouvoir dire honnêtement à nos enfants que l'honnêteté est la meilleure politique.

Les êtres humains sont les seuls animaux dont j'aie réellement peur.

L'alcool est un anesthésique qui permet de supporter l'opération de la vie.

La haine, c'est la vengeance du poltron.

Un érudit est un paresseux qui passe son temps à étudier. Prenez garde à ses erreurs : elles sont plus dangereuses que ses lacunes.

Dans la guerre, le courage et l'impétuosité sont de bons serviteurs. Mais ce sont de mauvais maîtres...

L'hypocrisie est l'hommage que la vérité paie à l'erreur.

L’homme raisonnable s’adapte au monde ; L’homme déraisonnable s’obstine à essayer d’adapter le monde à lui-même. Tout progrès dépend donc de l’homme déraisonnable.

L’adolescence est l’âge où les enfants commencent à répondre eux-mêmes aux questions qu’ils posent.

Le progrès est impossible sans changements, et ceux qui ne peuvent jamais changer d’avis ne peuvent ni changer le monde ni se changer eux-mêmes.

Alors que j’ai un souhait, j’ai une raison de vivre. La satisfaction est la mort.

De nos jours, l’homme du monde est celui qui a assez d’argent pour faire ce que feraient tous les sots, s’ils en avaient les moyens ; c’est-à-dire consommer sans produire.

Quand un homme désire tuer un tigre, il appelle cela sport ; quand un tigre désire le tuer, il appelle cela férocité.

Le seul sport que j'aie jamais pratiqué, c'est la marche à pied, quand je suivais les enterrements de mes amis sportifs.

L’homme raisonnable s’adapte au monde. Le déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même. Par conséquent tout progrès dépend de l’homme déraisonnable.

Les journaux sont incapables, apparemment, de faire la distinction entre un accident de bicyclette et le déclin d’une civilisation.

Tout gouvernement qui vole Pierre pour payer Paul dépend toujours du soutien de Paul.

Un homme décrit toujours inconsciemment lui-même quand il décrit quelqu’un d’autre.

Le patriotisme est votre conviction que ce pays est supérieur à tous les autres, parce que vous y êtes né.

Ce n’est pas l’incrédulité qui est dangereuse dans notre Société, c’est la croyance.

Certains hommes voient des choses telles qu’elles sont et se demandent : « Pourquoi ? ». Moi je rêve à des choses qui n’ont jamais existé et je me demande : « Pourquoi pas ? »

La vertu consiste non à s’abstenir mais à ne pas le désirer.

Le pire péché envers nos semblables, ce n’est pas de les haïr, mais de les traiter avec indifférence ; c’est là l’essence de l’inhumanité.

A tout problème complexe il existe une solution simple et fausse.

Pour éteindre le remords, il n’est que de renouveler souvent l’acte qui l’a fait naître.